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« L’oiseau de la Paix » de Mirza Moric

« L’oiseau de la Paix » de Mirza Moric sera exposé du 9 novembre 2023 au 7 février 2024 à Paris, à l’angle du pont du Carrousel et du quai Voltaire. À cette occasion, il va éditer des gravures sur papier Velin BFK Rives® 250 g/m².

Velin BFK Rives – Arches Papers (arches-papers.com)

« L’oiseau de la Paix » de Mirza Moric sera exposé du 9 novembre 2023 au 7 février 2024 à Paris, à l’angle du pont du Carrousel et du quai Voltaire. À cette occasion, Mirza Moric va éditer des gravures sur papier Velin BFK Rives® 250 g/m².

Velin BFK Rives – Arches Papers (arches-papers.com)

© Miza Moric – Œuvre et dessin préparatoire de « L’oiseau de la Paix »

« L’oiseau de la Paix » en quelques mots

En début d’année 2022, Mirza Moric s’est attelé à la réalisation d’une œuvre sculpturale « L’oiseau de la Paix » dédiée aux victimes des guerres du monde entier. Il est un artiste déterminé, courageux et animé d’une incroyable énergie créatrice. Toute son œuvre en est le témoignage ; il a sculpté, enfanté et réalisé des centaines d’œuvres dans des matériaux nobles les plus coriaces et les plus beaux.

Sa devise « Rien n’est impossible si vous croyez à la sublimation de l’Art ». Laisser des traces en créant des œuvres de témoignages pour l’humanité est pour lui primordial. « L’oiseau de la Paix » sera une œuvre pour rappeler à tous que la Paix symbolisée par l’oiseau est essentielle pour l’humanité.

L’artiste a choisi un matériau très résistant, le granit blanc du Sidobre de la région du Tarn, pour montrer que, malgré les tempêtes, l’Homme résiste. Sur les ailes de l’oiseau, des visages sculptés de femmes, d’enfants et de philosophes.
L’oiseau installé sur son nid est prêt à l’envol. L’oiseau étant le messager de la paix, l’espoir est ainsi exprimé.

Mirza Moric

Mirza Moric est né en Bosnie-Herzégovine en 1954, mais il vit à Paris depuis 1977. Diplômé de l’Académie des Beaux-arts de Sarajevo en 1976, élève de l’école nationale des Beaux-arts de Munich en 1977 et de Paris de 1977 à 1984, il fait preuve d’une véritable création artistique alliant personnalité, authenticité et modernisme. Les matériaux qu’il emploie, le marbre, la pierre, le granit ou le bronze, révèlent la puissance instinctive de sa sculpture. Les formes, les volumes, l’espace qu’il crée, ouvrent les portes d’un imaginaire sans limites.
Ses œuvres ont été exposées un peu partout en Europe, ainsi qu’à Los Angeles ou Tokyo.

© Mirza Moric – Atelier musée de l’artiste

Bien que l’oiseau soit depuis toujours un motif récurrent des sculptures de Mirza Moric, ses oiseaux n’appartiennent à aucune espèce. Ce sont des oiseaux génériques qui n’appartiennent pas à la nature, des chimères, des créatures imaginaires inspirées du sensible.
Leur présence obsédante renvoie à un autre monde. Un monde conçu plus que perçu. Isolé, le volatile devient sujet en soi, expression du rêve d’Icare, symbole éternel de liberté. Son vol l’affranchit de la temporalité, du poids de la matière et peut être aussi de l’adversité.
Paradoxe, et non des moindres, que de vouloir donner à la pierre, l’évanescence de la plume.

Bien qu’il s’en défende, Mirza sculpte avant tout les mouvements intérieurs, ceux de l’âme. Beaucoup de ses oiseaux, réduits à la valeur d’idéogramme au point de n’être plus qu’un bec, semblent emprunter au mythe universel du passeur d’âme ou de l’âme-oiseau. Incarnations de l’invisible, ils jouent comme métaphore de l’esprit. Il y dans ces oiseaux, cous tendus vers le ciel, une dimension mystique qui, a bien des égards, renvoie à la quête lumineuse des oiseaux d’Attar, poète mystique persan du 12ème siècle.

© Mirza Moric

© Mirza Moric

© Mirza Moric

© Mirza Moric

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